DĂ©clarationdes Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 ; PrĂ©ambule de la Constitution du 27 octobre 1946; Charte de l'environnement; Codes; Textes consolidĂ©s; Jurisprudence. Jurisprudence constitutionnelle; Jurisprudence administrative; Jurisprudence judiciaire; Jurisprudence financiĂšre; Circulaires et instructions; Accords collectifs. 08022021 Au 1er avril, une nouvelle Convention Collective Nationale CCN pour le secteur de la production agricole et Cuma va entrer en vigueur prĂ©parez-vous en contactant dĂšs maintenant votre conseiller Cerfrance Dordogne !ffffffffffffffffffffffffffffffffffff ffffffffffffffffffffffffffffffffff Une convention nationale a Ă©tĂ© signĂ©e le 15 septembre 2020. L’arrĂȘtĂ© d’extension ayant Ă©tĂ© publiĂ© au Journal officiel en janvier 2021, elle entrera en vigueur au 1er avril 2021. Elle s’appliquera de maniĂšre obligatoire dans les exploitations agricoles et les Cuma et va induire des changements dans la relation entre employeur et salariĂ©. La convention collective nationale agricole n’efface pas les 140 conventions collectives territoriales existantes, les deux conventions sectorielles et les accords nationaux interbranches. La convention collective nationale dĂ©finit un cadre minimum qui vient s’interposer entre la loi et les accords locaux. Champ d’application - Le territoire français ;- La production agricole exploitations et entreprises agricoles ayant une activitĂ© dĂ©finie Ă  l’article 1° et 4° du Code rural et les Cuma. Une grande partie des dispositions des conventions collectives locales vont se retrouver dans la convention collective nationale qui est l’aboutissement d’un cadre imposĂ© par les pouvoirs publics. La convention nationale a vocation Ă  prĂ©valoir sur toutes les conventions locales. NĂ©anmoins, les dispositions des conventions dĂ©partementales vont, de leur cĂŽtĂ©, avoir vocation Ă  continuer Ă  s’appliquer dans l’entreprise selon la rĂšgle du plus favorable » et sauf exception. Incidences en paie Ce qui change - IntitulĂ© de la nouvelle convention collective ;- Nouvelle classification du salariĂ© ;- Nom du mĂ©tier ;- Taux horaire et catĂ©gorie socio-professionnelle Ă  adapter. Ce qui reste - Les dispositions qui n’existent pas dans la convention collective nationale * Primes anciennetĂ©, 13Ăšme mois
 et indemnitĂ©s diverses prime de panier, saquette
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 ;- Les dispositions plus favorables ou Ă©quivalentes. Le changement le plus important est de positionner vos salariĂ©s dans la nouvelle grille de classification. Les Ă©tapes de la valorisation dans l’emploi Etape 1 rĂ©unir tous les Ă©lĂ©ments qui vont permettre de qualifier objectivement les compĂ©tences requises pour l’emploi que l’on souhaite valoriser » Etape 2 identifier, au sein de chacun des cinq critĂšres, le degrĂ© qui correspond le mieux Ă  l’exigence de l’emploi Etape 3 calculer le coefficient Etape 4 dĂ©terminer le palier et, par consĂ©quent, le salaire minimum rĂ©munĂ©ration brute de cet emploi Etape 5 vĂ©rifier la catĂ©gorie socio-professionnelle A vous de jouer ! Avant de dĂ©marrer ce travail de classification, munissez-vous des documents suivants - Contrat de travail et avenant ;- Bulletin de paie ;- Fiche de poste ;- Offre d’emploi dĂ©posĂ©e pour le poste. Vous devez valoriser l’emploi, et non la personne qui l’ s’agit de regarder les missions significatives, habituelles et inhĂ©rentes Ă  l’ critĂšre doit ĂȘtre Ă©valuĂ©. Cet article de la France Agricole du 22 janvier 2021 vous permettra de comprendre l'impact de cette nouvelle CCN sur les employeurs agricoles. Article rĂ©alisĂ© avec le partenariat d'une experte du rĂ©seau Cerfrance. Conventioncollective nationale production agricole/CUMA Convention collective nationale agricole n’efface pas les 140 conventions collectives territoriales existantes, ni les deux conventions sectorielles et les accords nationaux interbranches, mais il dĂ©finit un cadre minimum JANVIER 2021 4. À quelle date ? Elle a Ă©tĂ© Ă©tendue le 2 dĂ©cembre 2020 Le 15 septembre dernier, les partenaires sociaux agricoles ont signĂ© la mise en place d’une convention collective nationale de la production agricole et des CUMA. Ce dispositif, qui entrera en vigueur le 1er avril prochain, vient refonder le cadre juridique dĂ©finissant la relation entre les employeurs et les salariĂ©s de la production agricole. Comme le [
] Le 15 septembre dernier, les partenaires sociaux agricoles ont signĂ© la mise en place d’une convention collective nationale de la production agricole et des CUMA. Ce dispositif, qui entrera en vigueur le 1er avril prochain, vient refonder le cadre juridique dĂ©finissant la relation entre les employeurs et les salariĂ©s de la production agricole. Comme le souligne le ministĂšre de l’agriculture dans son communiquĂ© de presse, cette avancĂ©e dĂ©cisive pour la profession, vient apporter une preuve de la vitalitĂ© du dialogue social en agriculture. En dotant le secteur, rĂ©gi jusqu’à par 130 conventions, d’un cadre national, cette convention sera la clĂ© de voĂ»te des nĂ©gociations collectives Ă  venir pour les 130 000 employeurs et le million de salariĂ©s concernĂ©s, tout en sĂ©curisant la place inaliĂ©nable du dialogue social de proximitĂ©. En donnant des gages et des perspectives aux salariĂ©s, cette nouvelle convention contribue Ă  rendre plus attractif ce secteur d’activitĂ© en manque chronique de main d’Ɠuvre. DĂ©sormais, une grille de salaires unique et une classification des emplois s’appliqueront Ă  toutes les entreprises pour tous les employĂ©s de la production agricole et des CUMA. En tant qu’organisation reprĂ©sentative des employeurs, la FNSEA se doit d’ĂȘtre Ă  leur cĂŽtĂ© pour simplifier les dĂ©marches et leur apporter une information fiable et prĂ©cise. Elle lance ainsi un site internet dĂ©diĂ© accessible gratuitement Ă  tous les employeurs. Son innovation majeure rĂ©side dans un outil de classification sur mesure permettant de gĂ©nĂ©rer en quelques clics une fiche pour chaque salariĂ©. Conventioncollective nationale de la production agricole et CUMA du 15 septembre 2020 > Texte de base : Convention collective nationale de la production agricole et CUMA du 15 septembre 2020 . Aller au contenu; Aller au menu; Aller au menu; Aller Ă  la recherche; Menu. Informations de mises Ă  jour; Gestion des cookies; Nous contacter; La convention collective nationale production agricole et CUMA entrera en vigueur le 1er avril 2021. Les professionnels de CER France, rĂ©seau associatif de conseil et d’expertise comptable, a explicitĂ© ce texte de loi, qui aura pour champ d’application la production agricole exploitations et entreprises agricoles ayant une activitĂ© dĂ©finie Ă  l’article 1°et 4°du code rural et les CUMA sur le territoire français. La convention nationale a vocation Ă  prĂ©valoir sur toutes les conventions locales. NĂ©anmoins, les dispositions des conventions dĂ©partementales vont, de leur cĂŽtĂ©, avoir vocation Ă  continuer Ă  s’appliquer dans l’entreprise selon la rĂšgle du plus favorable » et sauf exception. » Incidences en paie Ce qui change IntitulĂ© de la nouvelle convention collective Nouvelle classification du salariĂ© Nom du mĂ©tier Taux horaire et catĂ©gorie socio- professionnelle Ă  adapter. Ce qui reste Les dispositions qui n’existent pas dans la convention collective nationale – primes anciennetĂ©, 13Ăšme mois
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. Les dispositions plus favorables ou Ă©quivalentes. Le changement le plus important est de positionner vos salariĂ©s dans la nouvelle grille de classification. Conventioncollective nationale production agricole et CUMA. Du 15 septembre 2020. Date d’effet . SignĂ©e le 15 septembre 2020 pour une entrĂ©e en application au 1er Avril 2021. La nouvelle convention n’efface pas les conventions territoriales existantes : ces derniĂšres deviennent des accords territoriaux qui se superposent Ă  la nouvelle convention. La nouvelle convention collective nationale de la production agricole et des Cuma a Ă©tĂ© publiĂ©e au Journal officiel du 10 janvier 2021. Établissant notamment une grille de salaires minimum, son application obligatoire sur les feuilles de paye entrera en vigueur au mois d’avril. Le point sur le sujet avec Trois ans de nĂ©gociation La convention collective nationale qui va encadrer tous les salariĂ©s de la production agricole 235 000 salariĂ©s permanents et 900 000 saisonniers a fait l’objet de trois ans de nĂ©gociation. Aujourd’hui, ce nouveau cadre social commun effacera les diffĂ©rences d’un territoire Ă  l’autre pour un mĂȘme mĂ©tier. Ce principe d’harmonisation a d’ailleurs Ă©tĂ© saluĂ© par la FNSEA en charge de l’emploi. Jusque-lĂ , les salariĂ©s agricoles français dĂ©pendaient de 141 conventions collectives territoriales, et deux conventions collectives sectorielles pour l’aquaculture et l’accouvage. L’une des nouveautĂ©s du texte est l’introduction des grilles de salaires minimum, ainsi qu’une classification des emplois qui prend mieux en compte les compĂ©tences des salariĂ©s, dans le but de favoriser l’évolution professionnelle. Une Ă©tape historique du dialogue social en agriculture Il est prĂ©vu que les conventions territoriales et sectorielles, en particulier si elles sont mieux-disantes, continuent Ă  exister en complĂ©ment de la convention nationale, ceci dans le but de garder un dialogue social territorial riche. Cette derniĂšre classe ainsi tous les emplois, les compĂ©tences et leurs Ă©volutions. A noter que tous les syndicats de salariĂ©s du secteur CFDT, CGT, FO, CFTC et CFE-CGC ont signĂ© cet accord qualifiĂ© d’historique. En effet, dans un communiquĂ© sĂ©parĂ©, la FGA-CFDT estime que la crĂ©ation de la convention collective nationale est historique et trĂšs structurante du dialogue social en agriculture. Des avancĂ©es sociales ont Ă©tĂ© obtenues concernant la prise en charge des dĂ©placements des salariĂ©s, du travail de nuit, ou encore des indemnitĂ©s de dĂ©part en retraite ». L’introduction d’articles relatifs au tĂ©lĂ©travail ou encore au droit Ă  la dĂ©connexion a Ă©galement Ă©tĂ© saluĂ©e par les syndicats, qui estiment que ces sujets ne sont pas forcĂ©ment pris en compte dans leur secteur d’activitĂ©. MĂȘme son de cloche concernant la crĂ©ation concomitante d’un rĂ©gime de retraite supplĂ©mentaire pour les non-cadres en production agricole. Report de l’entrĂ©e en vigueur de la convention nationale au 1er avril Initialement prĂ©vue pour le 1er janvier 2021, l’entrĂ©e en vigueur de la nouvelle convention collective des salariĂ©s de Cuma et de la production agricole a Ă©tĂ© repoussĂ©e au 1er avril 2021. En cause, l’arrĂȘtĂ© d’extension de cette convention collective qui n’est pas paru au Journal officiel au 31 dĂ©cembre 2020. En effet, l’arrĂȘtĂ© n’a Ă©tĂ© publiĂ© au JO que le 10 janvier 2021. Une information confirmĂ©e par le service juridique de la FĂ©dĂ©ration nationale des Cuma, qui prĂ©cise que l’entrĂ©e en vigueur de la convention collective nationale de la production agricole et des Cuma est donc repoussĂ©e au 1er avril 2021 ». Ainsi, les responsables de Cuma employeur disposent de trois mois supplĂ©mentaires pour se prĂ©parer Ă  cette entrĂ©e en vigueur, notamment du point de vue de l’application de la nouvelle classification des emplois. Navigation de l’article Le1 er avril 2021, la convention nationale de la production agricole et CUMA est entrĂ©e en vigueur. Cette convention nationale s’applique aux entreprises viticoles de CĂŽte d’Or et plus spĂ©cifiquement Ă  la SAS DOMAINE CAPITAIN GAGNEROT, et ne laisse subsister les conventions territoriales que sur quelques dispositions
Le 15 septembre dernier, les partenaires sociaux agricoles ont signĂ© la mise en place d’une convention collective nationale de la production agricole et des CUMA. Ce dispositif, qui entrera en vigueur le 1er avril prochain, vient refonder le cadre juridique dĂ©finissant la relation entre les employeurs et les salariĂ©s de la production agricole. Comme le souligne le ministĂšre de l’agriculture dans son communiquĂ© de presse, cette avancĂ©e dĂ©cisive pour la profession, vient apporter une preuve de la vitalitĂ© du dialogue social en agriculture. En dotant le secteur, rĂ©gi jusqu’à par 130 conventions, d’un cadre national, cette convention sera la clĂ© de voĂ»te des nĂ©gociations collectives Ă  venir pour les 130 000 employeurs et le million de salariĂ©s concernĂ©s, tout en sĂ©curisant la place inaliĂ©nable du dialogue social de proximitĂ©. En donnant des gages et des perspectives aux salariĂ©s, cette nouvelle convention contribue Ă  rendre plus attractif ce secteur d’activitĂ© en manque chronique de main d’Ɠuvre. DĂ©sormais, une grille de salaires unique et une classification des emplois s’appliqueront Ă  toutes les entreprises pour tous les employĂ©s de la production agricole et des tant qu’organisation reprĂ©sentative des employeurs, la FNSEA se doit d’ĂȘtre Ă  leur cĂŽtĂ© pour simplifier les dĂ©marches et leur apporter une information fiable et prĂ©cise. Elle lance ainsi un site internet dĂ©diĂ© accessible gratuitement Ă  tous les employeurs. Son innovation majeure rĂ©side dans un outil de classification sur mesure permettant de gĂ©nĂ©rer en quelques clics une fiche pour chaque salariĂ©.
LaConvention collective nationale de travail des entreprises de la production agricole et des CUMA a été signée le 15 septembre 2020 par les partenaires sociaux . Elle entrera en vigueur le 1er avril 2021.
Les employeurs et salariĂ©s de la production agricole et des CUMA ainsi que ceux des entreprises de travaux et de services agricoles, ruraux et forestiers ETARF ont dĂ©sormais leur propre convention collective nationale CCN.Ces deux conventions collectives nationales production agricole/CUMA et ETARF sont entrĂ©es en vigueur le 1-4-2021. Elles sont disponibles sur CCN production agricole/CUMA Sont concernĂ©s par cette nouvelle convention - les exploitations et entreprises agricoles ayant une activitĂ© de culture et d’élevage de quelque nature qu’elles soient ; - les Ă©tablissements de toute nature dirigĂ©s par l’exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement et de la commercialisation des produits agricoles lorsque ces activitĂ©s constituent le prolongement de l'acte de production ; - les structures d'accueil touristique, notamment d'hĂ©bergement et de restauration ; - les Ă©tablissements de pisciculture et les activitĂ©s de pĂȘche maritime Ă  pied professionnelle, sauf pour les personnes qui relĂšvent du rĂ©gime social des marins ; - les CUMA. La convention ne s’applique pas en revanche aux entreprises de travaux agricoles, ruraux et forestiers, aux centres Ă©questres, aux entraĂźneurs de chevaux de courses, aux champs de courses, aux parcs zoologiques et aux Ă©tablissements de conchyliculture. Le principal apport de cette convention est l’instauration d’une grille de salaire unique salaires minima et d’une classification des emplois Ă©tablie sur la base de 5 critĂšres la technicitĂ©, l’autonomie, la responsabilitĂ©, le management et le relationnel. CCN du 15-9-2020, Ă©tendue par arrĂȘtĂ© du 2-12-2020, JO du 10-1 CCN ETARF Sont concernĂ©Es par cette nouvelle convention - les entreprises de travaux et services agricoles et ruraux ; - les entreprises de travaux et services forestiers d’exploitation forestiĂšre, Ă  l’exception des exploitations forestiĂšres et scieries agricoles ; - les entreprises de travaux et services forestiers en sylviculture ; - les entreprises de prestations de services avicoles effectuant des travaux de mise en place ou d’enlĂšvement de volailles et des travaux d’intervention technique. La convention instaure une classification des emplois Ă  laquelle est associĂ©e une nouvelle grille de salaires minimum. Source CCN du 8-10-2020, Ă©tendue par arrĂȘtĂ© du 18-10-2020, JO du 16-2 © Copyright Editions Francis Lefebvre Votre actualitĂ© Retrouvez une mine d'informations alimentĂ©e en continu d'actualitĂ©s fiscales, sociales, juridiques et patrimoniales rĂ©digĂ©es spĂ©cifiquement pour vous. Retrouvez Ă©galement les principaux indices et taux, l'agenda des dĂ©clarations et obligations, des dossiers et guides thĂ©matiques, des modĂšles de lettres, des simulateurs calcul du barĂšme kilomĂ©trique, loi Madelin, des vidĂ©os
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CCNProduction agricole/CUMA : nouvelle grille de salaires nĂ©gociĂ©e en juin 2022. 20 juin 2022 . La CFTC-AGRI est signataire de la nouvelle grille de salaires Production agricole/CUMA nĂ©gociĂ©e en juin 2022. AprĂšs deux rĂ©unions de nĂ©gociation, l’intersyndicale CFTC-CFE-CGC-FO et CGT obtient donc une augmentation de [] Lire
La convention collective nationale de la production agricole et des Cuma entrera en application soit le 1er janvier si l'arrĂȘtĂ© est publiĂ© au plus tard le 31 dĂ©cembre 2020, ou Ă  compter du 1er avril si la publication est postĂ©rieure1. PubliĂ© le 23 dĂ©cembre 2020 - Par S. Sabot DĂšs 2021, les exploitations agricoles qui embauchent des salariĂ©s devront appliquer partout en France une seule et mĂȘme convention collective celle dite " de la production agricole et des Cuma ", signĂ©e entre la FNSEA, la FNCuma et les organisations syndicales de salariĂ©s CFDT, CFTC, CGC, CGT, FO. Elle concerne les exploitations de culture et d'Ă©levage ; les Ă©tablissements de toute nature dirigĂ©s par l'exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement, de la commercialisation de produits agricoles dans le prolongement de l'acte de production ; les structures d'accueil touristique en lien direct avec l'exploitation ; les coopĂ©ratives d'utilisation du matĂ©riel agricole. Elle s'applique Ă©galement aux Ă©tablissements de pisciculture. A la veille de sa mise en application, voici les rĂ©ponses aux principales questions, avec Pascal Servier, prĂ©sident de la commission emploi formation Ă  la FRSEA Auvergne-RhĂŽne-Alpes et Luc Pierron, membre de cette commission, qui a participĂ© au groupe de travail FNSEA sur le sujet. Pourquoi une convention collective nationale ? " C'Ă©tait une volontĂ© des gouvernements successifs de restructurer le paysage conventionnel et de diminuer le nombre de conventions collectives dans tous les secteurs d'activitĂ© ", rappelle Pascal Servier. En France, il existait plus de 140 conventions collectives applicables aux entreprises agricoles, souvent Ă©tablies Ă  l'Ă©chelle des dĂ©partements. " Cette multitude d'accords territoriaux n'Ă©tait peut-ĂȘtre plus en cohĂ©rence avec le terrain. Certains accords jouaient d'une histoire longue, autour d'Ă©vĂšnements qui ont amenĂ© les nĂ©gociateurs Ă  ces solutions mais qui aujourd'hui n'Ă©taient pas Ă  la hauteur des enjeux pour notre agriculture ", poursuit le prĂ©sident de la commission emploi formation Ă  la FRSEA Aura. " Cette convention clarifie aussi un certain nombre de choses car aujourd'hui l'agriculture ne se discute plus seulement par dĂ©partement ou par filiĂšre. Nous avions besoin de cette harmonisation pour que les employeurs sur les territoires aient le mĂȘme langage et qu'ils aient la lisibilitĂ© nĂ©cessaire sur les emplois qu'ils dĂ©finiront demain ", indique Pascal Servier. Qu'est ce qui change dĂšs l'entrĂ©e en application de la convention nationale ? Le principal changement, c'est la mise en place d'une grille de classification des emplois et d'une grille de salaires nationales. Celles-ci s'appliqueront aux nouveaux salariĂ©s dans l'entreprise, mais aussi Ă  ceux dĂ©jĂ  en poste. " Jusqu'Ă  prĂ©sent, les salaires sur nos exploitations Ă©taient Ă©tablis Ă  partir de niveaux et d'Ă©chelons. DĂ©sormais nous allons fonctionner par palier, avec une classification des emplois basĂ©e sur les compĂ©tences et donc des critĂšres qui vont nous permettre de classer ces compĂ©tences ", prĂ©cise Luc Pierron. En quoi consiste la classification des emplois ? " Les employeurs qui ont participĂ© aux groupes de travail de la FNSEA ont pu dĂ©finir collectivement des critĂšres qui sont universels la technicitĂ©, l'autonomie, la responsabilitĂ©, le management et le relationnel ", explique Luc Pierron. A chacun de ces critĂšres correspondent, dans la convention collective, des degrĂ©s et des points qui vont permettre de dĂ©terminer le coefficient de l'emploi occupĂ© par le salariĂ© et son niveau de rĂ©munĂ©ration. C'est donc l'Ă©tape la plus importante Ă  laquelle les employeurs doivent s'attacher dĂšs Ă  prĂ©sent Ă©tablir la classification des diffĂ©rents emplois sur l'exploitation selon ces nouveaux critĂšres. Luc Pierron invite les exploitants Ă  saisir l'opportunitĂ© offerte par cette classification. " Elle va permettre de faire un point sur toutes les compĂ©tences dont nous avons besoin sur nos exploitations. Une fois que nous aurons rĂ©alisĂ© ce travail de classification, les choses seront plus simples, notamment quand il s'agira de remplacer, d'accueillir une nouvelle personne sur le poste ", estime-t-il. Il recommande Ă©galement de classifier les emplois sur la base des missions les plus courantes, celles que le poste exige de maniĂšre rĂ©guliĂšre, pas sur des tĂąches ponctuelles ou exceptionnelles. Quelles consĂ©quences aura cette classification ? Une fois la classification de l'emploi rĂ©alisĂ©e, elle permettra d'obtenir le coefficient de l'emploi et de dĂ©terminer Ă  quel palier Ă©tablir le salaire minimum pour un poste donnĂ©. Les salariĂ©s dĂ©jĂ  en poste devront donc faire l'objet d'un repositionnement dans la grille nationale de classification. Il n'y aura en effet pas de concordance entre les anciennes grilles dĂ©partementales et la grille nationale. Si le nouveau classement devait conduire Ă  une rĂ©munĂ©ration horaire infĂ©rieure, le salariĂ© conservera le bĂ©nĂ©fice de sa rĂ©munĂ©ration actuelle. " L'objectif de cette nouvelle convention, c'est vraiment de valoriser les compĂ©tences requises par l'emploi valoriser la personne mais au travers du poste qu'elle occupe et favoriser son Ă©volution professionnelle ", explique Luc Pierron. Que deviennent les conventions collectives locales ? On n'en compte pas moins de douze en Auvergne RhĂŽne-Alpes2 s'appliquant soit Ă  l'Ă©chelon dĂ©partemental, soit Ă  l'Ă©chelon RhĂŽne-Alpes pour les cadres. DĂšs son entrĂ©e en application, c'est la convention collective nationale qui prend le pas sur les accords territoriaux. Elle devient alors la rĂ©fĂ©rence en matiĂšre de classification des emplois et de grille de salaire. " Pour le reste, les accords locaux continuent de s'appliquer s'ils sont plus favorables pour le salariĂ© ", souligne Luc Pierron. Et aprĂšs ? " Demain la discussion va s'ouvrir pour savoir si nous devons maintenir, amĂ©liorer ou modifier toutes ces lignes. L'enjeu, c'est de donner une cohĂ©rence par rapport Ă  l'exigence des mĂ©tiers et aussi par rapport Ă  la vision que les salariĂ©s ont du travail dans lequel ils Ă©voluent. Il y aura peut-ĂȘtre aussi des questionnements sur des spĂ©cificitĂ©s dans certaines filiĂšres ", reconnaĂźt Pascal Servier. Mais il conclut "L'avantage de cette convention nationale, c'est qu'elle nous ouvre un nouveau champ de discussion avec les organisations syndicales de salariĂ©s. Cela ne peut qu'ĂȘtre bĂ©nĂ©fique pour aller vers une rĂ©elle adaptation aux besoins des diffĂ©rents mĂ©tiers en agriculture ". Vers qui se tourner pour ĂȘtre accompagnĂ© dans ses dĂ©marches ? " Les employeurs peuvent se tourner dĂšs maintenant vers leur fĂ©dĂ©ration dĂ©partementale ou leurs reprĂ©sentants employeurs pour prendre connaissance et ne pas ĂȘtre surpris par la mise en application de cette convention collective ", conseille Pascal Servier. Luc Pierron se veut Ă©galement rassurant " Tout changement est perturbant bien sĂ»r. Mais les employeurs seront aidĂ©s et il y aura un temps d'adaptation ".1 La convention collective nationale de la production agricole et des Cuma entrera en application au premier jour du trimestre civil suivant la publication de son arrĂȘtĂ© d'extension au Journal Officiel. Soit le 1er janvier si celui-ci est publiĂ© au plus tard le 31 dĂ©cembre 2020 ou Ă  compter du 1er avril si la publication est postĂ©rieure. 2 En Franche-ComtĂ©, il existe un accord rĂ©gional unique qui s'applique aux exploitations agricoles, Cuma et entreprises de travaux agricoles et forestiers. En SaĂŽne-et-Loire, un accord dĂ©partemental concerne les exploitations agricoles. Auterme de trois ans de nĂ©gociations, les partenaires sociaux agricoles salariĂ©s et patronaux (*) viennent de s’accorder sur la mise en place d’une convention collective nationale couvrant l’ensemble des salariĂ©s de la production agricole et des Cuma en France. Elle vise une classification des emplois basĂ©e sur les compĂ©tences Actuellement, les conditions de travail des salariĂ©s de la production agricole et des Cuma coopĂ©ratives d’utilisation de matĂ©riel agricole relĂšvent d’accords territoriaux conventions collectives dĂ©partementales ou rĂ©gionales et d’accords professionnels. À compter du 1er avril 2021, tous ces salariĂ©s se verront appliquer une convention collective nationale, permettant en particulier une harmonisation de leur classification et des salaires minima. Qui est concernĂ© ? Cette nouvelle convention collective nationale s’adresse, sur l’ensemble du territoire français – aux entreprises et exploitations ayant une activitĂ© de culture ou d’élevage ; – aux Ă©tablissements dirigĂ©s par un exploitant agricole en vue de la transformation, du conditionnement et de la commercialisation des produits agricoles lorsque ces activitĂ©s constituent le prolongement de l’acte de production ; – aux structures d’accueil touristique, notamment d’hĂ©bergement et de restauration ; – aux Ă©tablissements de pisciculture et Ă  la pĂȘche Ă  pied professionnelle ; – aux Cuma. DĂšs lors, elle ne s’applique pas aux entreprises de travaux agricoles, ruraux et forestiers, aux centres Ă©questres, aux entraĂźneurs de chevaux de course, aux champs de courses, aux parcs zoologiques et aux Ă©tablissements de conchyliculture. Que contient-elle ? La convention contient plusieurs avancĂ©es sociales s’agissant notamment du travail du nuit, du temps de dĂ©placement ou encore des indemnitĂ©s de dĂ©part Ă  la retraite. Mais son apport majeur est l’instauration de grilles de classification des emplois et de salaires minima. Une classification Ă©tablie sur la base de 5 critĂšres la technicitĂ©, l’autonomie, la responsabilitĂ©, le management et le relationnel. Et pour aider les employeurs Ă  s’y retrouver, plusieurs outils outil de classification, pack pĂ©dagogique
 sont mis Ă  leur disposition sur le site En complĂ©ment pour connaĂźtre les dispositions des accords territoriaux et professionnels qui continuent Ă  s’appliquer, les employeurs peuvent solliciter leur FĂ©dĂ©ration DĂ©partementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles FDSEA. reference ArrĂȘtĂ© du 2 dĂ©cembre 2020, JO du 10 janvier 2021 reference Convention collective nationale Production agricole/Cuma, 15 septembre 2020
Laconvention collective nationale (CCN) de la Production agricole et des CUMA est applicable depuis le 1er avril 2021. Dans le cadre du dĂ©ploiement de cette nouvelle convention collective, la FDSEA met en place un important dispositif adaptĂ© Ă  vos besoins pour vous accompagner : – des formations (1 journĂ©e en prĂ©sentiel) qui
CongĂ©s maternitĂ©, paternitĂ© et adoptiona CongĂ© de maternitĂ©La durĂ©e du congĂ© de maternitĂ© varie en fonction du nombre d'enfants dĂ©jĂ  Ă  charge avant la naissance de l'enfant, dans les conditions suivantes DurĂ©e du congĂ© de maternitĂ© selon le nombre d'enfants dĂ©jĂ  Ă  chargeStatut de l'enfant Ă  naĂźtreDurĂ©e du congĂ© prĂ©natalDurĂ©e du congĂ© postnatalDurĂ©e totale du congĂ© de maternitĂ©1er enfant6 semaines10 semaines16 semaines2e enfant6 semaines10 semaines16 semaines3e enfant ou plus8 semaines18 semaines26 semainesLa durĂ©e du congĂ© de maternitĂ© varie en fonction du nombre d'enfants Ă  naĂźtre, dans les conditions suivantes DurĂ©e du congĂ© de maternitĂ© selon le nombre d'enfants Ă  naĂźtreNombre d'enfants Ă  naĂźtreDurĂ©e du congĂ© prĂ©natalDurĂ©e du congĂ© postnatalDurĂ©e totale du congĂ© de maternitĂ©212 semaines22 semaines34 semaines3 ou plus24 semaines22 semaines46 semainesLa mĂšre peut renoncer Ă  une partie de son congĂ©, mais elle doit impĂ©rativement cesser de travailler au moins 8 semaines dont 6 aprĂšs l' rĂ©serve de l'avis favorable du mĂ©decin elle peut demander Ă  rĂ©duire le congĂ© prĂ©natal, dans la limite de 3 semaines. Dans ce cas, le congĂ© postnatal est augmentĂ© de la mĂȘme dĂ©but du congĂ© prĂ©natal peut ĂȘtre avancĂ© – soit en cas de naissance d'un 3e enfant dans la limite de 2 semaines ; – soit en cas de naissances multiples dans la limite de 4 semaines.Si le congĂ© prĂ©natal est avancĂ©, le congĂ© postnatal est rĂ©duit de la mĂȘme cas d'accouchement prĂ©maturĂ©La durĂ©e totale du congĂ© de maternitĂ© reste identique le congĂ© prĂ©natal est Ă©courtĂ© et le congĂ© postnatal est rallongĂ© d' une pĂ©riode de repos supplĂ©mentaire est prĂ©vue si – l'enfant naĂźt plus de 6 semaines avant la date prĂ©vue ; – et que son hospitalisation est ce cas, le congĂ© de maternitĂ© est prolongĂ© d'une durĂ©e Ă©gale au nombre de jours compris entre la date effective de l'accouchement et la date de dĂ©but du congĂ© prĂ©natal initialement cas d'accouchement tardifLe congĂ© prĂ©natal est prolongĂ© jusqu'Ă  la date effective de l'accouchement, sans que le repos postnatal ne soit rĂ©duit pour congĂ© maternitĂ© reste dĂ» si l'enfant dĂ©cĂšde Ă  la naissance ou en raison d'une interruption de grossesse gestation d'au moins 22 semaines d'amĂ©norrhĂ©e et enfant d'au moins 500 grammes.b CongĂ© de paternitĂ©Le congĂ© de paternitĂ© et d'accueil de l'enfant est ouvert au pĂšre de l'enfant, s'il est salariĂ©. Cependant, si la mĂšre de l'enfant vit en couple mariage, Pacs, concubinage avec une autre personne, elle-mĂȘme salariĂ©e, cette derniĂšre peut Ă©galement bĂ©nĂ©ficier du congĂ© est ouvert sans condition d'anciennetĂ©, et quel que soit le type de contrat du travail CDI, CDD ou contrat temporaire.Le salariĂ© avertit son employeur au moins 1 mois avant la date de dĂ©but du congĂ©. DĂšs lors que ce dĂ©lai est respectĂ©, l'employeur ne peut pas s'opposer Ă  la demande du durĂ©e du congĂ© de paternitĂ© et d'accueil de l'enfant est fixĂ©e Ă  11 jours calendaires consĂ©cutifs 18 jours calendaires en cas de naissance multiple. La durĂ©e de ce congĂ© est augmentĂ©e de 30 jours en cas d'hospitalisation de l' bĂ©nĂ©ficiaire peut prendre moins de congĂ© s'il le congĂ© peut succĂ©der au congĂ© de naissance de 3 jours ou ĂȘtre pris congĂ© doit dĂ©buter dans un dĂ©lai de 4 mois suivant la naissance de l'enfant notamment pour avoir droit Ă  indemnisation par la MSA, mais il peut prendre fin au-delĂ  de ce CongĂ© d'adoptionLa durĂ©e lĂ©gale du congĂ© d'adoption varie en fonction du nombre d'enfants adoptĂ©s, du nombre d'enfants dĂ©jĂ  Ă  charge avant adoption et de l'Ă©ventuelle rĂ©partition du congĂ© entre les parents DurĂ©e du congĂ© d'adoptionNombre d'enfants adoptĂ©sNombre d'enfants dĂ©jĂ  Ă  chargeDurĂ©e du congĂ© pris par un seul parentDurĂ©e du congĂ© rĂ©parti entre les 2 parents salariĂ©s10 ou 110 semaines10 semaines + 11 jours2 ou plus18 semaines18 semaines + 11 jours2 ou plusPeu importe le nombre22 semaines22 semaines + 18 joursLorsque le congĂ© d'adoption est rĂ©parti entre les 2 parents, il ne peut ĂȘtre fractionnĂ© qu'en 2 pĂ©riodes maximum, dont la plus courte est au moins Ă©gale Ă  11 jours ou 18 jours en cas d'adoptions multiples. Ces 2 pĂ©riodes peuvent se suivre ou ĂȘtre prises congĂ© dĂ©bute Ă  la date d'arrivĂ©e de l'enfant au foyer. Cependant, il peut dĂ©buter plus tĂŽt, dans la limite de 7 jours consĂ©cutifs prĂ©cĂ©dant l'arrivĂ©e de l'enfant au CongĂ©s pour Ă©vĂ©nements familiauxTout salariĂ© bĂ©nĂ©ficie, sur justificatif, de congĂ© exceptionnel ainsi fixĂ© 1. Pour le mariage du salariĂ© ou pour la conclusion d'un Pacs 4 jours. 2. Pour le mariage d'un enfant 1 jour. 3. Pour chaque naissance survenue au foyer du salariĂ© ou pour l'arrivĂ©e d'un enfant placĂ© en vue de son adoption 3 jours. 4. Pour le dĂ©cĂšs d'un enfant 7 jours ouvrĂ©s. 5. Pour le dĂ©cĂšs du conjoint, du concubin ou du partenaire liĂ© par un Pacs, du pĂšre, de la mĂšre, du beau-pĂšre, de la belle-mĂšre, d'un frĂšre ou d'une sƓur 3 jours. 6. Pour l'annonce de la survenue d'un handicap chez un enfant 2 congĂ©s lĂ©gaux pour Ă©vĂ©nements familiaux n'entraĂźnent pas de rĂ©duction de la rĂ©munĂ©ration et sont assimilĂ©s Ă  du temps de travail effectif pour la dĂ©termination de la durĂ©e du congĂ© payĂ© annuel. Ces congĂ©s doivent ĂȘtre pris dans un dĂ©lai raisonnable, concomitant avec l'Ă©vĂ©nement ayant donnĂ© lieu Ă  congĂ©. Ainsi, sauf cas de force majeure, au-delĂ  d'un dĂ©lai de 15 jours ce congĂ© n'a plus lieu d' Autres congĂ©s familiauxLe congĂ© pour enfant malade est ouvert Ă  tout salariĂ© s'occupant d'un enfant malade ou accidentĂ©, de moins de 16 ans, dont il assume la charge. Un certificat mĂ©dical doit constater la maladie ou l'accident. La durĂ©e du congĂ© est fixĂ©e Ă  3 jours par est portĂ©e Ă  5 jours par an lorsque l'enfant a moins de 1 an ou si le salariĂ© a la charge de 3 enfants de moins de 16 congĂ© n'est pas ailleurs, les salariĂ©s peuvent bĂ©nĂ©ficier, sous conditions fixĂ©es par la loi, de divers congĂ©s dont le congĂ© postnatal, le congĂ© parental d'Ă©ducation, le congĂ© de prĂ©sence CongĂ© de deuilLes salariĂ©s subissant le dĂ©cĂšs d'un enfant de moins de 25 ans ou d'une personne Ă  charge effective et permanente de moins de 25 ans ont droit Ă  un congĂ© de durĂ©e est de 8 jours ouvrables qui peut ĂȘtre prise dans un dĂ©lai de 1 an et fractionnĂ©. Le salariĂ© est tenu d'informer son employeur 24 heures avant le dĂ©but de chaque pĂ©riode d' congĂ© est pris en charge par la MSA sous forme d'indemnitĂ©s CongĂ©s diversLes salariĂ©s peuvent, sous conditions fixĂ©es par la loi, de divers congĂ©s dont le congĂ© sabbatique, le congĂ© pour crĂ©ation d'entreprise, le congĂ© de formation Ă©conomique, sociale ou syndicale, le congĂ© formation du conseiller du salariĂ©, le congĂ© de formation du conseiller prud'homme, le congĂ© de mobilitĂ© volontaire sĂ©curisé  nMGeA.
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  • convention collective nationale de la production agricole et des cuma