LeSecret des médaillons est le onziÚme chapitre du manga Les Mystérieuses Cités d'or : La PremiÚre Cité. Esteban Sancho Pedro Mendoza Waïna Ketcha Pichu Zia Tao Yupanki Kraka Mayuka Athanaos MÚre
Livres Ebooks & liseuses NouveautĂ©s Coups de cƓur Livres Ă  prix rĂ©duits Bons plans Papeterie Jeux Reprise de livres Sur le chantier de construction de la cathĂ©drale d'Amiens, les morts succĂšdent aux accidents dans d'Ă©tranges circonstances. L'Ă©difice est-il maudit... Lire la suite 5,90 € En stock en ligne LivrĂ© chez vous Ă  partir du 30 aoĂ»t Sur le chantier de construction de la cathĂ©drale d'Amiens, les morts succĂšdent aux accidents dans d'Ă©tranges circonstances. L'Ă©difice est-il maudit ? L'Ă©quipe des bĂątisseurs cache-t-elle un meurtrier ? C'est ce que Colin, jeune tailleur de pierres, veut dĂ©couvrir aprĂšs la mort de son pĂšre, le maĂźtre tailleur. Date de parution 27/08/2014 Editeur Collection ISBN 978-2-01-001581-6 EAN 9782010015816 Format Poche PrĂ©sentation BrochĂ© Nb. de pages 256 pages Poids Kg Dimensions 12,5 cm × 17,8 cm × 1,4 cm Biographie de BĂ©atrice NicodĂšme BĂ©atrice NicodĂšme, aprĂšs avoir longtemps Ă©tĂ© maquettiste dans la presse pour la jeunesse. Elle se consacre totalement Ă  l’écriture depuis maintenant une quinzaine d’annĂ©es. Elle a publiĂ© de nombreux romans policiers et historiques pour la jeunesse et pour adultes.

Lesecret de la cathĂ©drale DĂ©couverte d’un roman policier historique BĂ©atrice NicodĂšme SĂ©quence pĂ©dagogique Ă©tablie par LĂ©o Lamarche, professeur agrĂ©gĂ©e de Lettres

12 aoĂ»t 2019 1 12 /08 /aoĂ»t /2019 1441 RĂ©sumĂ© Ă©tabli par Bernard Martial professeur de lettres en CPGE Traduction de JosĂ©e Kamoun, Folio n°4637 entre parenthĂšses n° des pages dans cette Ă©dition Ce rĂ©sumĂ© ne remplace pas la lecture du texte intĂ©gral dont il ne prĂ©tend pas reproduire les qualitĂ©s littĂ©raires. Chapitre 8, Ă  454 Alvin endossa un costume sur mesure et la responsabilitĂ© de conduire Ă  leur table des hĂŽtes de marque Frank Hague, le maire escroc de Jersey City, Gus Lesnevich, champion du New Jersey pour la catĂ©gorie des poids mi-lourds, Moe Dalitz, le magnat du racket de Cleveland, le Roi Salomon, son homologue Ă  Boston, Mickey Cohen Ă  et le Cerveau » Meyer Lansky, quand ils se retrouvaient lĂ  pour un congrĂšs mafieux. En septembre, il accueillait Miss AmĂ©rique et sa famille aprĂšs son couronnement. Le futur gendre unijambiste de Billy des Flippers avait Ă©tĂ© surnommĂ© la Frime par Allie Stolz, boxeur candidat au titre mondial des poids lĂ©gers, originaire de Newark comme lui et Gus Lesnevich 414 qui s’apprĂȘtait Ă  affronter Beau Jack et Tippy Larkin. Je m’ingĂ©niai Ă  imiter l’argot d’Alvin. Minna n’ouvrit pas la bouche au dĂźner malgrĂ© les efforts de ma mĂšre. Mon pĂšre ne pensait qu’à l’attentat de la synagogue de Cincinnati la veille et au pillage de boutiques juives. C’était le deuxiĂšme soir qu’il faisait faux bond Ă  Oncle Monty pour ne pas laisser sa famille seule Ă  Summit Avenue 415 ; il passa le dĂźner Ă  se lever pour guetter Ă  la radio les nouvelles des retombĂ©es des obsĂšques de Winchell. Alvin n’avait qu’Allie Ă  la bouche ; Le renoncement aux idĂ©aux qui lui avait coĂ»tĂ© une jambe aurait-il pu ĂȘtre plus complet ? Il s’était dĂ©faussĂ© de tout ce qui le sĂ©parait des aspirations d’un Shushy Margulis ; il s’était dĂ©faussĂ© de nous. » 
 Le moignon d’Alvin fut paradoxalement ce qui le lia Ă  Minna, surtout aprĂšs la mort de Schap en 1960 lorsque son frĂšre rĂ©cupĂ©ra les machines Ă  sous et qu’Alvin, se contentant des restaurants, se mit Ă  courir les call-girls. Chaque fois que son moignon le faisait souffrir, Minna accourait. 416 Lorsqu’il prit de l’ñge, c’est elle qui prit soin de lui. De passage dans le New Jersey, Alvin avait voulu passer remercier son oncle et sa tante de tout ce qu’ils avaient fait pour lui et leur prĂ©senter sa fiancĂ©e. Telles furent du moins les intentions annoncĂ©es avant d’affronter mon pĂšre et d’affronter l’antipathie innĂ©e entre eux. J’avais, de mon cĂŽtĂ© remis sa mĂ©daille 417. Alvin avait d’ailleurs mal choisi son moment avec toutes ces violences antisĂ©mites dans le pays. A l’école on nous avait rassemblĂ©s pour nous prĂ©ciser les mesures prises pour assurer notre sĂ©curitĂ© 418. Nous dinĂąmes dans la salle Ă  manger, et ma mĂšre, incapable de rancune, sortit faire des courses pour lui prĂ©parer ses plats favoris malgrĂ© l’insĂ©curitĂ© latente 419. Alvin arriva avec sa Buick, son costume et les bras chargĂ©s de prĂ©sents pour la famille un tablier pour ma mĂšre, un carnet de dessin pour Sandy, une casquette des Phillies pour moi et une invitation pour quatre personnes au restaurant de langoustes d’Atlantic City pour mon pĂšre. Ces cadeaux me rassurĂšrent. Ce soir-lĂ , en tout cas, nous ne faisions pas l’effet d’une famille divisĂ©e et on n’aurait jamais cru qu’une fois le dĂźner fini [
] un duel Ă  mort puisse se livrer entre mon pĂšre et Alvin. Si Alvin n’était pas venu avec sa tenue tapageuse et s voiture voyante, tout frĂ©tillant de l’appĂ©tit carnassier du gymnase Marsillo, exubĂ©rant Ă  la perspective d’acquĂ©rir cette richesse inespĂ©rĂ©e
, 420 si Winchell n’avait pas Ă©tĂ© assassinĂ© vingt-quatre heures plus tĂŽt, et si les pires apprĂ©hensions suscitĂ©es par l’élection de Lindbergh n’avaient pas paru plus prĂšs que jamais de se rĂ©aliser, alors peut-ĂȘtre que les deux hommes qui marquĂšrent le plus mon enfance ne seraient pas passĂ©s Ă  deux doigts de s’entre-tuer. Avant ce soir-lĂ , je n’aurais jamais imaginĂ© que mon pĂšre Ă©tait si bien armĂ© pour le massacre, ni qu’il Ă©tait capable de passer de la raison Ă  la folie en un clin d’Ɠil ». Il n’avait pas parlĂ© des Ă©preuves subies quand il Ă©tait enfant, avant la guerre et que les Irlandais s’en prenaient aux dĂ©icides du quartier juif du TroisiĂšme District » 421. Il avait toujours Ă©tĂ© athlĂ©tique une photo de ses 18 ans 422 ; 
 force de la nature. Avant ce soir-lĂ , je n’aurais pas davantage pu l’imaginer cogner quelqu’un et a fortiori laisser sanglant sur le carreau le fils orphelin de son frĂšre aĂźnĂ©. » A cette Ă©poque, les Juifs d’Europe avaient tendance Ă  refuser la violence et l’alcool mais inversement n’avaient pas su nous inculquer la combativitĂ© qui Ă©tait la loi premiĂšre dans d’autres ethnies 422. Il y avait moins de bagarres dans mon Ă©cole Ă©lĂ©mentaire que dans les autres Ă©coles communales de Newark. Ce fut donc, pour toutes les raisons imaginables, une nuit dĂ©vastatrice. En 1942, je n’étais pas en mesure d’en dĂ©chiffrer les implications effroyables, mais la seule vue du sang, celui de mon pĂšre et celui d’Alvin, suffit Ă  me sonner. Du sang, il y en avait partout
 [
] AprĂšs les Ă©meutes du sud de Boston, celles de Detroit, l’assassinat de Louisville, la bombe incendiaire de Cincinnati, le saccage de Saint Louis, Pittsburgh, Buffalo, Akron, Youngstown, Peoria, Scranton, Syracuse, ce carnage dans le sĂ©jour banal d’une famille, oĂč tout le monde s’efforce traditionnellement de rĂ©sister aux intrusions d’un monde hostile, 423 les antisĂ©mites allaient trouver un alliĂ© objectif pour la fameuse solution finale au pire problĂšme de l’AmĂ©rique voilĂ  que nous prenions nos massues dans un dĂ©lire autodestructeur. » Ce fut Mr Cucuzza qui mit un terme Ă  cette horreur en dĂ©barquant chez nous en chemise de nuit, le revolver Ă  la main. Minna se mit Ă  vomir et je fis pipi sur moi alors que Cucuzza immobilisait Alvin. Bilan des blessures Alvin prothĂšse fendue en deux, moignon en charpie, poignet brisĂ©. Mon pĂšre 3 dents cassĂ©es, 2 cĂŽtes fracturĂ©es, longue Ă©corchure sur la pommette, 424 cou tordu minerve pendant un mois 
 et dĂ©gĂąts dans l’appartement
 Tout ça parce que mon pĂšre n’avait pas compris qu’Alvin Ă©tait incorrigible malgrĂ© les sermons et l’affection moralisatrice ; tout ça parce qu’il avait commis l’erreur de vouloir le sauver de son destin naturel. Tout ça parce que mon pĂšre avait jaugĂ© Alvin du regard, en se rappelant la vie tragiquement fugace de son pĂšre, et que, dans son dĂ©sespoir, il avait secouĂ© la tĂȘte tristement en lui disant Tu as une Buick, un costume de mafieux, la pire racaille pour amis, mais est-ce que tu 425 es au courant, est-ce que ça t’intĂ©resse, est-ce que ça te tracasse, Alvin, ce qui est en train de se passer dans ce pays, ce soir ? Ça t’intĂ©ressait pourtant, il y a des annĂ©es, bon sang. Mais plus maintenant. Maintenant c’est les gros cigares, la bagnole. Mais est-ce que tu as une toute petite idĂ©e de ce qui arrive aux Juifs pendant qu’on est assis dans cette piĂšce ? » Alvin, qui Ă©tait persuadĂ© d’ĂȘtre enfin parvenu Ă  quelque chose ne put supporter cette remise en question de son oncle et laissa Ă©clater sa vindicte Les Juifs ! J’ai foutu ma vie en l’air pour eux ! J’ai perdu ma jambe pour eux, putain ! Je l’ai perdue pour toi, cette jambe, merde ! J’en avais quelque chose Ă  foutre, moi, de Lindbergh ? Mais tu m’envoies me battre contre lui, putain, et moi, comme un petit con, j’y vais. Ben tiens, regarde un peu, tonton dĂ©sastre, oncle de merde, mate voir, j’ai plus de jambe, putain. » Il releva alors son pantalon pour dĂ©couvrir son moignon 426 et cracha au visage de mon pĂšre
 comme il l’avait fait avec le soldat allemand mort ! On aurait dĂ» le laisser continuer sur sa lancĂ©e au lieu d’essayer de le rĂ©habiliter. Il Ă©tait comme les pĂšres dont il essayait de s’émanciper. Plus tard dans la soirĂ©e, deux comparses d’Alvin arrivĂšrent dans une Cadillac immatriculĂ©e en Pennsylvanie, le premier pour conduire Alvin et Minna au cabinet du mĂ©decin d’Allie Stolz, sur Elizabeth Street, l’autre pour ramener la Buick Ă  Philadelphie. Mon pĂšre rentra des urgences de Beth Israel 427 oĂč l’avait conduit Mr Cucuzza. C’est alors que des coups de feu retentirent sur Chancellor Avenue. Des coups de feu, des cris, des hurlements, des sirĂšnes. Le pogrom avait commencĂ© ». En quelques secondes, Mr Cucuzza qui venait de descendre l’escalier le remonta en trombe et nous entraĂźna Ă  l’étage infĂ©rieur pour nous mettre Ă  couvert. Cette fois, mon pĂšre accepta le revolver, blessĂ© dans tous les sens, assis sur le sol avec nous dans le vestibule aveugle 428. Ma mĂšre nous serrait contre elle en essayant de cacher sa peur. Mr Cucuzza passait furtivement devant la fenĂȘtre pour vĂ©rifier que personne ne rĂŽdĂąt alentour. Joey, sa mĂšre et sa grand-mĂšre avaient pour consigne de ne pas bouger de leur lit. La fusillade dura moins d’une heure. Nous ne retournĂąmes pas chez nous avant l’aube. Mr Cucuzza s’aventura en Ă©claireur jusqu’au point oĂč Chancellor Avenue Ă©tait interdite Ă  la circulation pour apprendre que la fusillade n’avait pas opposĂ© la police aux antisĂ©mites mais Ă  la milice juive. Il n’y avait pas eu de pogrom Ă  Newark, cette nuit-lĂ , mais un simple Ă©change de coups de feu. » 429 Et si trois Juifs avaient Ă©tĂ© tuĂ©s – Sammy l’Assommoir, le Gros Gerry et Bastos lui-mĂȘme -, ce n’était pas forcĂ©ment parce qu’ils Ă©taient juifs » mais parce qu’il s’agissait du type mĂȘme de tueurs dont le nouveau maire voulait purger la ville, au premier chef pour signifier Ă  Longy Zwillman qu’il n’était plus membre honoraire du Conseil des commissaires. Le chef de la police expliqua que les vigiles Ă  la gĂąchette nerveuse » avaient ouvert le feu sur deux policiers en patrouille. Personne ne regretta ces trois individus. Pas de pogrom, et pourtant, Ă  sept heures du matin, mon pĂšre appelait Winnipeg, et il avouait Ă  Shepsie Tirschwell qu’on ne pouvait plus vivre dans des conditions normales Ă  Newark tant les Juifs y Ă©taient terrorisĂ©s et les antisĂ©mites enhardis 430 [
] le pire qui ait Ă©tĂ© imposĂ© Ă  une famille jusque-lĂ  Ă©tait la relocalisation. Des persĂ©cutions caractĂ©risĂ©es cautionnĂ©es par le gouvernement s’annonçaient-elles inĂ©vitablement, personne n’aurait pu le dire, mais on les redoutait au point qu’il devenait impossible de prĂ©server son Ă©quilibre ». Mon pĂšre reconnut qu’il s’était trompĂ©, que Bess et Tirschwell avaient raison ; il essaya de se dĂ©pĂȘtrer de ses faux pas et de ses erreurs de jugement dont son invraisemblable explosion de violence. Leur conversation s’engagea sur le terrain de l’émigration, de la marche Ă  suivre. Quand nous partĂźmes Ă  l’école, Sandy et moi Ă©tions persuadĂ©s que nous allions fuir, que notre enfance amĂ©ricaine touchait Ă  sa fin. En somme, lĂ -bas dans le Kentucky, Seldon Ă©tait mieux loti que nous. 431 Et puis tout fut fini. Le cauchemar prit fin. Lindbergh disparut, nous Ă©tions sains et saufs. Mais jamais je ne recouvrerais ce sentiment de sĂ©curitĂ© inĂ©branlĂ© qu’un enfant Ă©prouve pour une grande rĂ©publique protectrice, entre des parents farouchement responsables. » EXTRAITS DES ARCHIVES DU NEWSREEL Mardi 6 octobre 1942 Trente mille personnes dĂ©filent dans le grand hall de Pennsylvania Station pour contempler le cercueil de Walter Winchell couvert d’un drapeau Ă  la grande satisfaction du maire de New-York, Fiorello La Guardia Ă  qui l’on doit la dĂ©cision de faire de ces obsĂšques un jour de deuil municipal avec pour temps fort une oraison funĂšbre prononcĂ©e par FDR. Devant la gare et dans bien d’autres points de la ville, des hommes et des femmes distribuent des badges noirs posant la question OĂč est Lindbergh ? » Juste avant midi, le maire La Guardia arrive Ă  la radio et lit en hĂ©breu la priĂšre aux morts. A midi pile, on observe une minute de silence dans les 5 circonscriptions. La police contrĂŽle partout les manifestations protestataires mobilisĂ©es 432 par les nombreux groupes d’extrĂȘme-droite qui ont leur QG dans Yorkville -quartier majoritairement germanique, fief du mouvement nazi au nord de la pointe est de Manhattan et au sud de Harlem- qui soutient le prĂ©sident et sa politique. A 13h, la garde d’honneur des motocyclettes se joint au cortĂšge funĂšbre devant Penn Station. Le maire prend la tĂȘte du cortĂšge dans un side-car jusqu’au temple Emanu-El. Et lĂ , parmi les dignitaires rassemblĂ©s par le maire, se trouvent dix membres du cabinet Roosevelt en 1940, 4 juges nommĂ©s par lui Ă  la Cour suprĂȘme, Philip Murray, le prĂ©sident du CIO, William Green, prĂ©sident de l’AFL, John L. Lewis, prĂ©sident du syndicat des mineurs, Roger Baldwin, de l’Union pour les libertĂ©s civiques, ainsi que des gouverneurs, sĂ©nateurs et dĂ©putĂ©s dĂ©mocrates, encore en fonctions ou non, des Etats de New York, du New Jersey, de la Pennsylvanie et du Connecticut, dont le candidat dĂ©mocrate Ă  la prĂ©sidence battu en 1928, anciennement gouverneur de New-York, Al Smith. Des haut-parleurs retransmettent le service funĂšbre aux New-Yorkais massĂ©s dans tous les quartiers de Manhattan, Ă  l’exception de Yorkville, ainsi qu’à des milliers de sympathisants venus de l’extĂ©rieur venus les rejoindre – toute cette 433 AmĂ©rique qui Ă©coutait Walter Winchell chaque semaine sur les ondes et qui ont fait le voyage pour lui rendre hommage. Tous ou presque portent le badge OĂč est Lindbergh ? » Fiorello La Guardia, fils d’une Juive non pratiquante et d’un Italien libre-penseur arrivĂ© aux Etats-Unis comme musicien sur un bateau, qui pendant cinq mandats a reprĂ©sentĂ© un East Harlem surpeuplĂ© d’Italiens et de Juifs pauvres, qui, dĂ©jĂ  en 1933, qui a Ă©tĂ© pendant trois mandats maire de coalition pour la mĂ©tropole oĂč vit la plus grande concentration de Juifs de l’hĂ©misphĂšre, qui dĂ©crivait Hitler comme un maniaque et un pervers et appelait au boycott des produits allemands, le porte-parole des syndicats, des nĂ©cessiteux, des chĂŽmeurs, s’est battu presque seul contre son parti pendant la Crise et en affichant son mĂ©pris pour Lindbergh et le dogme de la supĂ©rioritĂ© de la race aryenne. La Guardia se tient auprĂšs du cercueil et s’adressant 434 aux dignitaires commence son discours, de sa voix caractĂ©ristique, sous la forme d’un Ă©loge paradoxal tous les dĂ©fauts de Walter Winchell et les vertus de Lindbergh 435 Ah oui, encore quelques diffĂ©rences notables entre Lindy l’infaillible et Walter le faillible. Notre prĂ©sident est un sympathisant fasciste, voire sans doute un fasciste abouti, et Walter Winchell Ă©tait l’ennemi des fascistes. Notre prĂ©sident n’aime pas beaucoup les Juifs, c’est mĂȘme sans doute un antisĂ©mite bon teint alors que Walter Winchell Ă©tait juif, et l’ennemi inflexible et fort en gueule des antisĂ©mites. Notre prĂ©sident est un admirateur d’Adolf Hitler, il est sans doute nazi lui-mĂȘme, et Walter Winchell Ă©tait le premier ennemi de Hitler en AmĂ©rique. VoilĂ  en quoi notre imparfait Walter Ă©tait incorruptible – il l’était quand il le fallait. Walter parle top fort, il parle trop vite, il parle trop -, oui, mais en comparaison, sa vulgaritĂ© a de la grandeur, et c’est la dĂ©cence de Lindbergh qui est hideuse. » La Guardia dĂ©nonce ensuite tous ceux qui, selon lui, servent les intĂ©rĂȘts des nazis, Dies, Bilbo, Parnell Thomas qui servent les intĂ©rĂȘts du FĂŒhrer au CongrĂšs, ceux qui 436 Ă©crivent dans le New York Journal American et le New York Daily News, ceux qui reçoivent des criminels nazis Ă  la Maison-Blanche. Et c’est justement parce qu’il Ă©tait l’ennemi de Hitler et parce qu’il Ă©tait l’ennemi des nazis que Walter Winchell a Ă©tĂ© abattu d’un coup de feu hier [
] Pour avoir dit ce qu’il pensait dans l’Etat du Kentucky, Walter Winchell a Ă©tĂ© assassinĂ© par les nazis d’AmĂ©rique, qui, grĂące au silence de notre prĂ©sident, cet homme fort, avare de paroles, et dĂ©sintĂ©ressĂ©, ont dĂ©sormais la haute main sur notre pays. Ça n’arriverait jamais ici ? Mais, mes amis, c’est en train d’arriver ici. Et oĂč est Lindbergh ? OĂč est Lindberg ? » Dans les rues et dans la synagogue, on se rĂ©pĂšte ces quatre syllabes OĂč est Lind-bergh ? » que La Guardia martĂšle sur son pupitre. Avec cette pĂ©roraison menaçante, le maire prĂ©pare les fidĂšles endeuillĂ©s Ă  l’apparition suprĂȘme de FDR et celui va sidĂ©rer ses plus vieux compagnons de route Hopkins, Morgenthau, Farley, Berle, Baruch 437 car il va dĂ©signer comme successeur de Walter Winchell ce politicard potelĂ© [
] que ses administrĂ©s [
] ont affectueusement surnommĂ© la Petite Fleur. Depuis la chaire du temple Emanu-El, le chef en titre du Parti dĂ©mocrate dĂ©clare en effet son soutien au maire de New York rĂ©publicain, candidat de l’ unitĂ© nationale » pour contrer Lindbergh qui va briguer un second mandat en 1944. » Mercredi 7 octobre 1942 Le 20 mai au matin, le prĂ©sident Lindbergh dĂ©colle de Long Island et se pose Ă  l’aĂ©roport de Louisville, au soleil de midi, Ă  la grande surprise du maire de Wilson Wyatt qui a eu peu de temps pour organiser sa venue 438. Dans le bref discours qu’il adresse Ă  la foule au pied de son avion, Lindbergh ne fait aucune allusion Ă  Walter Winchell, Ă  son assassinat, au discours de La Guardia, sacrĂ© par FDR comme son successeur. Le vice-prĂ©sident a dĂ©noncĂ© la veille ceux-lĂ  mĂȘme qui auraient forcĂ© l’AmĂ©rique Ă  la guerre en 1940 » dans un discours au congrĂšs d’anciens combattants de l’American Legion. Lindbergh se contente de dire Notre pays est en paix. Notre peuple est au travail. Nos enfants sont Ă  l’école. Je suis venu jusqu’à vous pour vous le rappeler. A prĂ©sent je rentre Ă  Washington pour que ça continue. » 439. Puis le prĂ©sident remonte dans Le Spirit of Saint Louis et prend de l’altitude. Il disparaĂźt vers l’est, on ne le reverra jamais. » Jeudi 8 octobre 1942 Aucune Ă©pave n’est retrouvĂ©e malgrĂ© toutes les recherches 440. De sorte qu’à 20h, le cabinet est convoquĂ© pour une cellule de crise Ă  la rĂ©sidence du vice-prĂ©sident. Burton K. Wheeler y annonce qu’aprĂšs avoir consultĂ© la PremiĂšre Dame et les leaders de la majoritĂ© au SĂ©nat, au CongrĂšs et Ă  la Cour suprĂȘme, il va devoir prendre la charge de prĂ©sident par intĂ©rim. Des dizaines de journaux titrent, pour faire honte Ă  La Guardia, OÙ EST LINDBERGH ? » Vendredi 9 octobre 1942 Lorsque les AmĂ©ricains se rĂ©veillent pour commencer leur journĂ©e, la loi martiale a Ă©tĂ© imposĂ©e dans tous les Etats-Unis [
]. A midi, Wheeler, prĂ©sident par intĂ©rim, se rend au Capitole sous escorte militaire. Lors d’une sĂ©ance Ă  huis clos du CongrĂšs, il annonce que le FBI a tout lieu de croire Ă  un enlĂšvement du prĂ©sident, qui serait dĂ©tenu par un groupe inconnu, quelque part en AmĂ©rique du Nord. Toutes les mesures seront prises 441 pour obtenir sa libĂ©ration et traĂźner les auteurs du crime devant la justice, promet le prĂ©sident par intĂ©rim. Entre-temps, les frontiĂšres avec le Canada et le Mexique ont Ă©tĂ© fermĂ©es, les aĂ©roports bloquĂ©s. Dans le District de Columbia le maintien de l’ordre sera assurĂ© par les forces armĂ©es, et dans le reste du pays par la garde nationale en collaboration avec le FBI et les autoritĂ©s policiĂšres locales. » ENCORE ! Tel est le gros titre de tous les journaux de Hearst illustrĂ© par des photos du bĂ©bĂ© de Lindbergh photographiĂ© vivant pour la derniĂšre fois en 1932, quelques jours seulement avant son enlĂšvement Ă  l’ñge de vingt mois. » Samedi 10 octobre 1942 La radio allemande officielle annonce que l’enlĂšvement de Charles Lindbergh, trente-troisiĂšme prĂ©sident des Etats-Unis et signataire des historiques accords d’Islande entre le TroisiĂšme Reich et son pays, a Ă©tĂ© perpĂ©trĂ© par un complot d’intĂ©rĂȘts juifs ». Des renseignements top secret de la Wehrmacht sont citĂ©s, qui corroborent les premiers rapports du ministĂšre des affaires Ă©trangĂšres le complot a Ă©tĂ© orchestrĂ© par le va-t-en-guerre Roosevelt, en collusion avec son ministre des Finances juif, Morgenthau, son juge Ă  la Cour suprĂȘme juif, Frankfurter, et son banquier d’investissement juif Baruch. Ce complot est financĂ© par des usuriers d’envergure internationale, Warburg et 442 Rothschild. Les opĂ©rations sont menĂ©es par l’homme de main de Roosevelt, le gangster La Guardia, bĂątard Ă  moitiĂ© juif et maire de New York, cette judĂ©opole, ainsi que par le puissant gouverneur juif de l’Etat, le financier Lehman, le but Ă©tant de faire revenir Roosevelt Ă  la Maison-Blanche et de dĂ©clencher une guerre totale contre le monde non juif. Selon ces renseignements transmis au FBI par l’ambassade d’Allemagne Ă  Washington, l’assassinat de Walter Winchell a Ă©tĂ© planifiĂ© et exĂ©cutĂ© par la mĂȘme cabale de Juifs partisans de Roosevelt qui ont comme de juste imputĂ© le crime aux AmĂ©ricains d’ascendance allemande pour pouvoir lancer l’odieuse campagne OĂč est Lindbergh ? », contraignant du mĂȘme coup le prĂ©sident Ă  se rendre sur les lieux de l’assassinat pour rassurer les citoyens de Louisville, Kentucky, lĂ©gitimement inquiets d’éventuelles reprĂ©sailles juives organisĂ©es. Selon les rapports de la Wehrmacht, c’est dans le lieu mĂȘme oĂč le prĂ©sident s’est adressĂ© Ă  la foule qu’un mĂ©canicien soudoyĂ© par le complot juif dĂ©sormais introuvable et peut-ĂȘtre assassinĂ© sur ordre de La Guardia a neutralisĂ© la radio de l’appareil. Le prĂ©sident n’a pas plus tĂŽt dĂ©collĂ© pour Washington qu’il perd toute liaison avec le sol et les autres appareils ; force lui est donc de capituler lorsque le Spirit of Saint Louis est encerclĂ© par des avions de combat britanniques volant trĂšs haut, qui l’obligent Ă  dĂ©vier de sa course pour atterrir quelques heures plus tard sur une piste secrĂštement entretenue par des intĂ©rĂȘts juifs internationaux du cĂŽtĂ© canadien de la frontiĂšre de l’Etat de New York, fief de Lehman. 443 En AmĂ©rique, la dĂ©claration allemande pousse le maire La Guardia Ă  rĂ©pondre aux reporters de l’hĂŽtel qu’un AmĂ©ricain qui croit Ă  ces mensonges nazis abracadabrantes est tombĂ© trĂšs bas. » Pour autant, des sources bien informĂ©es rapportent que le maire et le gouverneur ont Ă©tĂ© longuement interrogĂ©s par les agents du FBI, et que le ministre de l’IntĂ©rieur exige de Mackenzie King, le Premier ministre canadien, qu’il lance des recherches intensives sur le sol de son pays pour retrouver le prĂ©sident Lindbergh et ses ravisseurs. On dit que Wheeler, le prĂ©sident par intĂ©rim, examine les documents allemands avec ses collaborateurs Ă  la Maison-Blanche, mais se refuse Ă  tout commentaire tant que les recherches de l’avion prĂ©sidentiel n’ont pas abouti. Des destroyers de la marine ainsi que des vedettes lance-torpilles des gardes- cĂŽtes guettent en ce moment toute trace de crash aĂ©rien jusqu’à Cap May dans le New Jersey au nord et Cap Hatteras en Caroline au sud, tandis que dans vingt Etats des unitĂ©s de l’armĂ©e de terre, les corps de la marine et de la garde nationale continuent de chercher des indices pour retrouver l’appareil disparu. Selon les unitĂ©s de la garde nationale qui font appliquer le couvre-feu dans tout le pays, la disparition du prĂ©sident n’aurait dĂ©clenchĂ© aucun incident violent. Sous la loi martiale, l’AmĂ©rique garde son calme, mĂȘme si le Grand Sorcier du Ku Klux Klan et le chef du Parti nazi ont tous deux appelĂ© le prĂ©sident par intĂ©rim Ă  mettre en Ɠuvre des mesures extrĂȘmes pour protĂ©ger l’AmĂ©rique d’un coup d’Etat juif ». Pendant ce temps, un comitĂ© d’ecclĂ©siastiques juifs 444 menĂ©s par le rabbin Stephen Wise de New York envoie un tĂ©lĂ©gramme Ă  la PremiĂšre Dame pour tĂ©moigner sa profonde sympathie Ă  sa famille en cette heure d’épreuve. On a vu le rabbin Lionel Bengelsdorf entrer Ă  la Maison-Blanche en dĂ©but de soirĂ©e ; il y aurait Ă©tĂ© conviĂ© par Mrs Lindbergh pour apporter son soutien spirituel Ă  la famille pendant ce troisiĂšme jour d’attente. La plupart des commentateurs voient dans cette invitation le signe que la PremiĂšre Dame refuse la thĂšse selon laquelle des intĂ©rĂȘts juifs seraient derriĂšre la disparition de son mari. » Dimanche 11 octobre 1942 Dans tout le pays, on prie Ă  la messe du dimanche pour la famille Lindbergh. Les trois principales chaĂźnes de radio annulent leurs Ă©missions pour diffuser les offices cĂ©lĂ©brĂ©s Ă  la cathĂ©drale de Washington, en prĂ©sence de la PremiĂšre Dame et de ses enfants ; de la musique sera diffusĂ©e le reste de la journĂ©e et du soir. A 20h, le prĂ©sident par intĂ©rim s’adresse Ă  la nation pour assurer ses compatriotes de la poursuite des recherches qui seront menĂ©es conjointement avec la police montĂ©e canadienne. Le rabbin Lionel Bengelsdorf, qui apparaĂźt dĂ©sormais comme le porte-parole de la PremiĂšre Dame 445 qui reste invisible pendant les recherches pour protĂ©ger sa famille, soutient que celle-ci garde espoir dans le retour de son mari les deux accidents de 1926 auxquels il a survĂ©cu et ne croit pas Ă  un complot Ă©tranger. Les preuves avancĂ©es par Wheeler sur le kidnapping de son mari la laissent sceptiques. Le rabbin dĂ©ment Ă©galement les rumeurs d’un quelconque Ă©tat d’égarement de la PremiĂšre Dame 446. Mais d’autres rumeurs venant peut-ĂȘtre du ministre Ford suggĂšrent que la PremiĂšre Dame serait tombĂ©e sous la coupe du rabbin Raspoutine », son porte-parole juif ». Lundi 12 octobre 1942 A Londres, les journaux du matin annoncent que les Renseignements britanniques ont transmis au FBI des communications allemandes codĂ©es prouvant formellement que le prĂ©sident Lindbergh est vivant et qu’il se trouve Ă  Berlin. Si l’on en croit les services secrets britanniques, le 7 octobre, selon un plan conçu de longue date par le marĂ©chal Goering, le prĂ©sident des Etats-Unis a rĂ©ussi Ă  prĂ©cipiter le Spirit of Saint Louis dans l’Atlantique en un point dĂ©terminĂ© Ă  l’avance, environ quatre cents kilomĂštres Ă  l’est de Washington. AprĂšs un Ă©change de signes de reconnaissance, un sous-marin allemand et son Ă©quipage l’ont transfĂ©rĂ© sur un vaisseau de guerre allemand qui l’attendait au large du Portugal pour le conduire Ă  Kotor, port du MontĂ©nĂ©gro sur l’Adriatique occupĂ© par les Italiens. L’épave de l’appareil prĂ©sidentiel a Ă©tĂ© remorquĂ©e et hissĂ©e Ă  bord d’un cargo militaire allemand, oĂč on l’a dĂ©montĂ©e, enfermĂ©e dans des caisses et transportĂ©e dans un entrepĂŽt de la 447 Gestapo Ă  BrĂȘme. Quant au prĂ©sident lui-mĂȘme, un appareil camouflĂ© de la Luftwaffe est venu le chercher Ă  Kotor pour l’emmener en Allemagne avec le marĂ©chal Goering ; dĂšs son arrivĂ©e Ă  la base aĂ©rienne, il a Ă©tĂ© conduit Ă  la cachette de Hitler Ă  Berchtesgaden pour y confĂ©rer avec lui. » Des groupes de rĂ©sistance serbes en Yougoslavie confirment les rapports des services secrets britanniques sur la base d’informations fournies par des sources internes au gouvernement du gĂ©nĂ©ral Milan Nedić mis en place par les Allemands Ă  Belgrade dont le ministre de l’IntĂ©rieur a dirigĂ© l’opĂ©ration navale au port de Kotor. A New-York, La Guardia dĂ©clare aux journalistes que si ces faits s’avĂ©raient vrais, il s’agirait d’une trahison dont la noirceur est sans Ă©gale dans toute l’histoire de l’humanitĂ©. » MalgrĂ© la loi martiale et le couvre-feu dans tout le pays, malgrĂ© la prĂ©sence de troupes de la garde nationale, des Ă©meutes antisĂ©mites Ă©clatent en Alabama, dans l’Illinois, l’Iowa, le Kentucky, le Missouri, l’Ohio, la Caroline du Sud, le Tennessee, la Caroline du Nord et la Virginie et elles se poursuivent toute 448 la nuit jusqu’au petit matin. Il faudra attendre Ă  peu prĂšs huit heures pour que les troupes fĂ©dĂ©rales expĂ©diĂ©es en renfort Ă  la garde nationale par Wheeler viennent Ă  bout des troubles et maĂźtrisent les incendies les plus violents allumĂ©s par les Ă©meutiers. On dĂ©plorera alors 122 victimes parmi les citoyens amĂ©ricains. » Mardi 13 octobre 1942 A midi, lors d’un discours radiodiffusĂ©, le prĂ©sident par intĂ©rim Wheeler impute les Ă©meutes au gouvernement britannique et Ă  ses partisans amĂ©ricains bellicistes ». AprĂšs avoir rĂ©pandu perfidement les accusations les plus ignobles qu’on puisse imaginer contre un patriote de la stature de Charles Lindbergh, ces gens pouvaient-ils n’avoir pas prĂ©vu la rĂ©action d’une nation dĂ©jĂ  endeuillĂ©e par la disparition de son chef bien-aimĂ© ? Pour promouvoir leurs intĂ©rĂȘts Ă©conomiques et raciaux, ils n’ont pas hĂ©sitĂ© Ă  Ă©prouver de façon extrĂȘme la conscience d’une nation au cƓur blessĂ©. Comment s’étonneraient-ils des consĂ©quences ? Je peux vous assurer que l’ordre a Ă©tĂ© rĂ©tabli dans nos citĂ©s ravagĂ©es du Sud et du Midwest, mais Ă  quel prix pour notre sĂ©rĂ©nitĂ© nationale ? » Le rabbin Bengelsdorf parle une nouvelle fois Ă  la place de la PremiĂšre Dame qui rejette les hypothĂšses sur la disparition de son mari 449 et Ă©tablit un parallĂšle entre le destin d’Amelia Earhart, disparue dans le Pacifique en 1937 et son mari. L’impossibilitĂ© de joindre la PremiĂšre Dame conduit le secrĂ©taire Ford Ă  exiger l’arrestation du rabbin Raspoutine. Mercredi 14 octobre 1942 En fin d’aprĂšs-midi, le maire La Guardia, convoque une confĂ©rence de presse pour attirer l’attention sur trois manifestations du dĂ©lire caractĂ©risĂ© qui menace la santĂ© mentale de la nation ». 1. D’abord, Ă  la une du Chicago Tribune, un article datĂ© de Berlin rapporte que le fils du prĂ©sident et de Mrs Lindbergh, aujourd’hui ĂągĂ© de douze ans – cet enfant qu’on croyait avoir Ă©tĂ© kidnappĂ© puis assassinĂ© dans le New Jersey en 1932 -, a retrouvĂ© son pĂšre Ă  la rĂ©sidence de Berchtesgaden aprĂšs avoir Ă©tĂ© sauvĂ© par les nazis. Ceux-ci l’auraient tirĂ© d’un cachot de Cracovie 450 en Pologne oĂč il Ă©tait tenu captif dans le ghetto juif depuis sa disparition et oĂč, chaque annĂ©e, on lui ponctionnait du sang pour la prĂ©paration rituelle des matzot de la PĂąque. » 2. DeuxiĂšme indice de dĂ©mence, les parlementaires rĂ©publicains ont dĂ©posĂ© un projet de loi appelant Ă  dĂ©clarer la guerre au Canada dans l’hypothĂšse oĂč le Premier ministre King ne parviendrait pas Ă  rĂ©vĂ©ler dans les quarante-huit heures oĂč se trouve le prĂ©sident disparu. » 3. Enfin les forces de l’ordre du Sud et du Midwest rapportent que les prĂ©tendues Ă©meutes antisĂ©mites » du 12 octobre ont Ă©tĂ© fomentĂ©es par des Ă©lĂ©ments locaux juifs Ɠuvrant Ă  l’intĂ©rieur d’une vaste conspiration juive pour saper le moral du pays. Sur les 122 personnes tuĂ©es au cours des Ă©meutes, 97 ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© identifiĂ©es comme des provocateurs juifs » attachĂ©s Ă  dĂ©tourner les soupçons du groupe mĂȘme des fauteurs de troubles qui tente de prendre le contrĂŽle du gouvernement fĂ©dĂ©ral. » Il y a bien un complot, en effet, conclut le maire La Guardia, et je vais me faire un plaisir de vous nommer les forces qui l’animent ce sont l’hystĂ©rie, l’ignorance, la malveillance, la bĂȘtise, la haine et la peur. Notre pays offre aujourd’hui un spectacle rĂ©pugnant ! Le mensonge, la cruautĂ© et la folie sont partout, et dans la coulisse, la force brute guette le moment de nous achever. Il nous faut aujourd’hui lire dans le Chicago Tribune que depuis toutes ces annĂ©es d’habiles boulangers juifs se servent du sang du petit Lindbergh kidnappĂ© pour faire leurs galettes de la PĂąque en Pologne – et ce 451 conte est tout aussi dĂ©lirant aujourd’hui que quand il est sorti du cerveau malade des antisĂ©mites il y a cinq cents ans. Le FĂŒhrer doit se dĂ©lecter Ă  empoisonner notre pays avec ces aberrations sinistres. Des intĂ©rĂȘts juifs, des Ă©lĂ©ments juifs, des usuriers juifs ! Des reprĂ©sailles juives ! Des complots juifs ! Une guerre dĂ©clarĂ©e par les Juifs au reste du monde entier ! Dire que l’AmĂ©rique se laisse subjuguer par ces balivernes ! Qu’on s’est emparĂ© de la conscience de la plus grande nation de la planĂšte sans le moindre mot de vrai ! Ah, le plaisir que nous devons faire Ă  l’homme le plus malfaisant du monde ! » Jeudi 15 octobre 1942 Peu avant l’aube, le rabbin Lionel Bengelsdorf est placĂ©e en garde-Ă -vue comme faisant partie des chefs de file du complot juif contre l’AmĂ©rique ». Au mĂȘme moment, la PremiĂšre Dame que l’on dit victime d’un effondrement nerveux » est transportĂ©e en ambulance Ă  l’hĂŽpital militaire Walter Reed. » Au cours de cette ronde matinale, d’autres personnalitĂ©s sont arrĂȘtĂ©es le gouverneur Lehman, Bernard Baruch, le juge Frankfurter et David Lilienthal, administrateur de Roosevelt, les conseillers du New Deal Adolf Berle et Sam Rosenman, les leaders syndicaux David Dubinsky et Sidney Hillman, l’économiste Isador Lubin, les journalistes de gauche I. F. Stone et James Wechsler, le socialiste Louis Waldman. D’autres arrestations seraient imminentes sans que le FBI ait rĂ©vĂ©lĂ© si l’un ou la totalitĂ© des suspects seront inculpĂ©s pour avoir enlevĂ© le prĂ©sident. » Des unitĂ©s de fantassins et de blindĂ©s entrent dans 452 New York pour aider la garde nationale Ă  juguler les flambĂ©es de violence de rue contre le gouvernement. A Chicago, Philadelphie et Boston, des appels Ă  manifester contre le FBI malgrĂ© la loi martiale se soldent par quelques blessures sans gravitĂ©, mais la police annonce s’ĂȘtre livrĂ©e Ă  des centaines d’arrestations. Au CongrĂšs, des tĂ©nors rĂ©publicains rendent hommage au FBI pour avoir dĂ©jouĂ© le complot » pendant que La Guardia donne une confĂ©rence de presse aux cĂŽtĂ©s d’Eleanor Roosevelt et de Roger Baldwin de l’Union amĂ©ricaine pour les libertĂ©s civiques. Ils exigent la libĂ©ration de Lehman et des prĂ©tendus conjurĂ©s. Cela vaut Ă  La Guardia d’ĂȘtre arrĂȘtĂ© dans sa rĂ©sidence officielle. » L’ancien prĂ©sident Roosevelt, qui s’est rendu Ă  New York est promptement mis sous la garde de la police pour assurer sa protection ». Les radios, les journaux sont fermĂ©s par l’armĂ©e ; le couvre-feu est gĂ©nĂ©ralisĂ© Ă  la journĂ©e entiĂšre et les blindĂ©s bloquent les ponts et les tunnels. Les incidents se multiplient Ă  Buffalo distribution de masques Ă  gaz, Ă  Rochester programme d’abris antiaĂ©riens en cas d’une attaque canadienne, Ă  la frontiĂšre du Maine et du 453 New Brunswick Ă©changes de tirs. Depuis Londres, le Premier ministre Churchill avertit que l’Allemagne se prĂ©pare Ă  envahir le Mexique pour protĂ©ger le flanc sud-ouest de l’AmĂ©rique puisque celle-ci entreprend d’arracher le contrĂŽle du Canada Ă  l’Angleterre. Il ne s’agit plus aujourd’hui que la dĂ©mocratie amĂ©ricaine nous prĂȘte main-forte par des mesures militaires. L’heure est venue que les citoyens amĂ©ricains prennent des mesures civiques pour leur propre salut. Il n’y a pas deux drames historiques distincts, celui de l’AmĂ©rique et celui de la Grande-Bretagne, tel ne fut jamais le cas. Il n’y a qu’une seule et mĂȘme Ă©preuve ; aujourd’hui comme hier nous y faisons face ensemble. »
Lesecret de la cathĂ©drale 1691 mots | 7 pages . le proviseur . BĂ©ranger : personne qui a fait le plan de la cathĂ©drale. Maurin : C'est la personne qui a trouvĂ© de quoi manger et dormir Ă  Colin. RĂ©sumĂ© Colin est un jeune homme dont le pĂšre est mort dans l'incendie de sa maison Ă  Amiens. Il va se rendre dans cette ville pour avoir des souvenirs de son pĂšre et en mĂȘme temps trouver un
Mes publications... - ""Diventare francese", la naturalisation des gĂ©nois en Provence 1620-1730", La Haute vallĂ©e de l'Arc, bulletin de la SERHVA, n°124, octobre 2013 - "Sculpteurs-marbriers provençaux les Veyrier et la carriĂšre de Trets", dans Marbres de Rois, actes du colloque international tenu Versailles 2003, Presses universitaires de Provence, 2013, pp. 81-90 - Atlantes & Cariatides, Editions Edilivre - collection Universitaire, 2012 - "Sculpteurs et marbriers les Veyrier et la carriĂšre de Trets", Provence Historique, tome LX - fasc. 239, janvier mars 2010, pp. 67-79 - "Des berges de la Garonne Ă  la construction du magasin des Marbres du Roi Ă  Bordeaux", Bulletin monumental chronique, n°169-1, 2011, p. 81 - "L'empreinte des archevĂȘques sur Puyricard" en collaboration avec Sophie Bergaglio dans Sebastien AUBLANC & Sophie BERGAGLIO, Puyricard, images et histoires, Ed. des lilas, 2012, pp. 56-65 Titre: Le secret de la cathĂ©drale: Auteurs : BĂ©atrice NicomĂšde: Editeur : LE LIVRE DE POCHE, 2006: Importance : 221 P. Langues : Français RĂ©sumĂ© : Sur le chantier de construction de la cathĂ©drale d'Amiens, les morts succĂšdent aux accidents dans d'Ă©tranges circonstances.
19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 2321 Un tailleur de pierre, Colin arrive Ă  Amiens. Il a choisi cette ville parce qu’avant de mourir dans un incendie, son pĂšre, maĂźtre AurĂšle, Ă©tait le maĂźtre du chantier. Ainsi, son rĂȘve est de suivre la voie de celui-ci. Mais depuis qu’il est arrivĂ© sur le chantier, les accidents et les meurtres se succĂšdent de façon mystĂ©rieuse. Il est lui-mĂȘme victime de plusieurs tentatives de meurtres ainsi que plusieurs de ses amis. Colin va alors enquĂȘter. Son enquĂȘte se passe sur la plus haute tour de la cathĂ©drale. En ce lieu, il dĂ©couvre l’identitĂ© du meurtrier, le maĂźtre d’Ɠuvre. Alors que ce dernier s’apprĂȘte Ă  le tuer, le cracheur de feu, portĂ© disparu et son pĂšre ont survĂ©cu a l’incendie de l’auberge. Colin se jette dans les bras de son pĂšre. Mon avis Je pense que ce livre est trĂšs bien. D’une part, il y a beaucoup de mystĂšres. D’autre part, je ne pensais pas que le pĂšre aurait survĂ©cu et donc cela crĂ©e du suspense. De plus, la pĂ©riode du Moyen-Ăąge me plaĂźt. ClĂ©mence LC, 5C, 18/10/2012 PubliĂ© par ClĂ©mence, 5C - dans N
Lesecret de la cathĂ©drale BĂ©atrice NicodĂšme Le livre de poche jeunesse 2013 A quelle Ă©poque se dĂ©roule l'histoire ? L'histoire se dĂ©roule au Moyen-Âge, 1242-1243 RĂ©sumĂ© C'est l'histoire d'un Le livre best-seller Le secret » est incontournable dans le domaine du dĂ©veloppement personnel. Il introduit le concept de la loi de l’attraction. DĂ©couvrez, ci-dessous, un rĂ©sumĂ© complet de ce livre. Le Secret » de Rhonda Byrne fait partie de ces livres qui ne laissent pas indiffĂ©rent. Ce livre nous explique que la loi qui dĂ©termine l’ordre de l’Univers, chaque moment de notre vie et chaque chose que nous expĂ©rimentons durant notre vie, est la loi de l’attraction. Le livre inclut de trĂšs nombreux exemples. Dans cet article, je vous expose les principaux sujets du livre tels qu’ils sont expliquĂ© par l’auteur. Ce n’est ni une interprĂ©tation personnelle, ni un reflet de mes pensĂ©es. Retrouvez ici notre rĂ©flexion concernant le livre le secret » et les concepts expliquĂ©s. RĂ©sumĂ© du livre le secret » Voici ci-dessous les principales idĂ©es du livre et de la loi de l’attraction. Qu’est-ce que cette loi de l’attraction ? Tout ce qui arrive dans notre vie, nous l’attirons dans notre vie. Tout est attirĂ© vers nous en vertu des images que nous avons dans notre esprit. C’est ce que nous pensons. Peu importe ce qui passe par notre esprit, nous l’attirons. Chacune de nos pensĂ©es est une chose rĂ©elle, une force. D’aprĂšs l’auteur du livre, les personnes qui ont marquĂ© les siĂšcles telles que Shakespeare, Beethoven, Da Vinci, Goethe, Victor Hugo, 
 ont considĂ©rĂ© cette loi comme la loi la plus puissante de l’Univers. La loi d’attraction dit que le positif attire le positif donc lorsque vous avez une pensĂ©e, vous attirez les pensĂ©es qui lui ressemblent. Les pensĂ©es sont magnĂ©tiques et ont une frĂ©quence. Lorsque vous Ă©mettez une pensĂ©e, elle attire celles qui sont sur la mĂȘme frĂ©quence. Donc si vous souhaitez changer quelque chose dans votre vie, changez les frĂ©quences que vous Ă©mettez en modifiant vos pensĂ©es. Par ailleurs, vos pensĂ©es actuelles crĂ©ent votre vie future, ce Ă  quoi vous pensez le plus, ou sur lesquelles vous vous concentrez le plus, apparaitra dans votre vie. Vos pensĂ©es deviennent des choses. Le positif attire le positif » Si vous souhaitez savoir ce Ă  quoi vous pensez, demandez-vous comment vous vous sentez. Les Ă©motions sont des outils qui nous permettent de savoir quelles sont nos pensĂ©es conscientes ou non. Par exemple, vous ne pouvez pas vous sentir mal et avoir des pensĂ©es positives simultanĂ©ment. Lorsque vous vous sentez bien, vous Ă©mettez des frĂ©quences positives, et vous attirez des choses positives. Certains outils, tels que des souvenirs plaisants, la nature ou de la musique, vous permettent de changer vos sentiments et donc votre frĂ©quence. Le sentiment de l’amour est sur la plus haute frĂ©quence que vous puissiez Ă©mettre. NDLR De la mĂȘme façon, le modĂšle de Brooke Castillo, expliquĂ© dans cet article, nous explique comment nos pensĂ©es impactent nos Ă©motions. La loi de l’attraction nous fournit des outils tels que des souvenirs plaisant, la nature ou la musique. Le modĂšle de Brooke nous explique comment adapter nos pensĂ©es plus d’informations ici. Comment utiliser la loi de l’attraction ? Demander Demandez Ă  l’Univers ce que vous souhaitez, soyez clair et prĂ©cis dans votre demande. Croire Agissez, pensez, parlez comme si vous avez dĂ©jĂ  reçu ce que vous avez demandĂ©. Lorsque vous Ă©mettez la frĂ©quence d’avoir reçu, la loi de l’attraction met en scĂšne les personnes, les circonstances et les Ă©vĂšnements afin que vous puissiez recevoir. Recevoir Sentez-vous maintenant de la façon dont vous serez lorsque vous aurez reçu. Vous sentir bien maintenant vous mettra sur la frĂ©quence de ce que vous voulez. Commencez avec quelque chose de petit puis, lorsque vous aurez reçu, faites des demandes de plus en plus grandes. CrĂ©ez votre journĂ©e Ă  l’avance en pensant Ă  la façon dont vous souhaitez qu’elle se dĂ©roule. Vous allez alors crĂ©er intentionnellement votre vie. Loi de l’attraction processus Il existe des processus puissants liĂ©s Ă  cette loi L’Attente/espĂ©rance EspĂ©rez les choses que vous souhaitez et n’espĂ©rez pas celle que vous ne souhaitez pas. Autrement dit, ne vous focalisez pas / ne pensez pas au nĂ©gatif. La Gratitude Soyez reconnaissant pour ce que vous avez dĂ©jĂ , et vous en aurez plus dans votre vie. Ça vous permettra de dĂ©placer votre Ă©nergie et d’apporter plus de ce que vous souhaitez dans votre vie. Remercier Remerciez Ă  l’avance pour ce que vous souhaitez, ça renforcera le message que vous envoyez Ă  l’Univers. Visualisation Cette technique consiste Ă  crĂ©er des images dans votre esprit de vous-mĂȘme en train de profiter de ce que vous souhaitez. Lorsque vous visualisez, vous gĂ©nĂ©rez des pensĂ©es et sentiments puissants d’avoir ce que vous souhaitez. La loi de l’attraction vous renvoie cette rĂ©alitĂ© vers vous, comme vous l’avez vue dans votre esprit. Afin d’utiliser la loi de l’attraction Ă  votre avantage, faites-en une habitude, ne l’utilisez pas seulement ponctuellement. A la fin de chaque journĂ©e, avant d’aller dormir, repensez aux Ă©vĂ©nements de votre journĂ©e. Chaque moment qui ne s’est pas dĂ©roulĂ© comme vous le souhaitiez, rejouez-le dans votre esprit avec la façon dont vous auriez voulu qu’il se dĂ©roule. La loi de l’attraction et l’argent Pour attirer de l’argent, concentrez-vous sur la richesse. Ce n’est pas possible d’attirer de l’argent si vous vous concentrez sur le manque d’argent. Utilisez votre imagination et imaginez-vous avoir dĂ©jĂ  l’argent. Sentez-vous mieux Ă  propos de l’argent et l’argent arrivera plus facilement vers vous, durant votre vie. Vous sentir bien maintenant est le moyen le plus rapide pour attirer de l’argent. Soyez attentif Ă  ce que vous souhaitez avoir et dites-vous que vous pouvez l’acheter. Vos pensĂ©es changeront et vous commencerez Ă  vous sentir mieux Ă  propos de l’argent. Donnez de l’argent afin d’en avoir plus, lorsque vous ĂȘtes gĂ©nĂ©reux avec l’argent et que vous vous sentez bien en le partageant, vous vous dites j’en ai beaucoup ». Pensez Ă  la richesse. La loi de l’attraction et les relations Pour avoir une relation, vĂ©rifiez que votre argent, vos mots, actions et environnement ne contredisent pas vos dĂ©sirs. Traitez-vous avec amour et respect afin d’attirer des personnes qui vous traiteront de la mĂȘme maniĂšre. Lorsque vous vous sentez mal Ă  votre Ă©gard, vous bloquez l’amour et attirer des personnes et situations qui continueront Ă  vous sentir mal. Concentrez-vous sur vos qualitĂ©s que vous aimez et la loi de l’attraction vous montrera plus de choses positives Ă  propos de vous. Afin qu’une relation fonctionne, concentrez-vous sur ce que vous apprĂ©ciez chez l’autre personne, et non ce dont vous vous plaignez. Lorsque vous portez votre attention sur les forces, vous en aurez plus. La loi de l’attraction et la santĂ© L’effet placĂ©bo est un exemple de la loi de l’attraction. Lorsqu’un patient pense vraiment qu’un mĂ©dicament va le soigner, il y croit et guĂ©rit. Nous pouvons tous nous concentrer sur une santĂ© parfaite, malgrĂ© ce qui se passe Ă  l’extĂ©rieur. Les rires attirent la joie, relĂąchent le nĂ©gatif et conduisent Ă  des miracles. La maladie est tenue dans nos corps par les pensĂ©es, l’observation de la maladie et l’attention portĂ©e Ă  cette maladie. Si vous ne vous sentez pas trĂšs bien, n’en parlee pas. Si vous Ă©coutez des personnes vous parler de leur maladie, vous ajoutez de l’énergie Ă  leur maladie. Concentrez-vous sur la santĂ© et la jeunesse. La loi de l’attraction, le monde et votre vie Vous attirez ce Ă  quoi vous rĂ©sistez car vous vous concentrez dessus. Pour changer quelque chose, Ă©mettez de nouveaux signaux avec vos pensĂ©es et vos Ă©motions. Vous ne pouvez pas aider le monde en vous portant votre attention sur le nĂ©gatif. Au lieu de vous concentrer sur les problĂšmes du monde, prĂȘtez votre attention et votre Ă©nergie Ă  la confiance, Ă  l’amour, l’abondance, l’éducation et la paix. Nous ne serons jamais Ă  court de positif car il y en a bien assez pour tout le monde. Priez et bĂ©nissez tout dans le monde et vous allez dissoudre le nĂ©gatif et vous aligner avec la plus haute frĂ©quence, l’amour. Tout est Ă©nergie. Laissez les difficultĂ©s de votre passĂ©, les codes culturels et les croyances sociales. Vous ĂȘtes les seuls Ă  pouvoir crĂ©ez la vie que vous dĂ©sirez. Un raccourci pour manifester vos dĂ©sirs est de les voir comme un fait absolu. Votre pouvoir est dans vos pensĂ©es ; donc rester alertes. Remplissez le tableau de votre vie avec ce que vous souhaitez. La seule chose que vous devez faire est de vous sentir bien. Plus vous utilisez le pouvoir Ă  travers vous, plus vous allez attirer de pouvoir. Faites ce que vous aimez. Le pouvoir est Ă  vous. Vous dĂ©sirez en savoir plus ? Vous pouvez dĂ©couvrir le livre cliquez ici ou lire notre analyse ici. Sjvf.
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